Grand chœur en ré majeur (suite n° 5) Introduction n° 11 en sol majeur. (suite n° 6 (1842)) Lévation n° 5 en ut majeur (suite n° 5) Lévation n° 5 en ut majeur (suite n° 8 (1859)) Lévation n° 6 en ré majeur (suite n° 8 (1859)) Lévation n° 6 en ut majeur (suite n° 5) Offertoire n° 8 en ut (suite n° 7 ) Offertoire n° 9 en ré majeur (suite n° 7 ) Pièce n° 1 en ut majeur (suite n° 5. pièces de différents caractères ( Pièce n° 10 en si b majeur (suite n° 6 (1842)) Pièce n° 12 en si b majeur. (suite n° 8 (1859)) Pièce n° 2 en ut majeur (suite n° 5) Pièce n° 3 en sol majeur (suite n° 5) Pièce n° 4 en sol majeur (suite n° 5) Pièce n° 5 en sol majeur (suite n° 6 (1842)) Pièce n° 6 en sol (suite n° 6 (1842)) Pièce n° 7 en fa majeur (suite n° 6 (1842)) Pièce n° 8 en ut (suite n° 6 (1842)) Pièce n° 9 en ré majeur (suite n° 6 (1842)) Rentrée de procession en mi b majeur (suite n° 8 (1859)) Rentrée de procession en sol majeur (suite n° 8 (1859)) Sortie en fa majeur (suite n° 8 (1859))
Il n'est guère possible de déterminer avec certitude pour quel type d'instrument les pièces telles élévations, prières et pièces de caractère sont écrites, mais il est certain que l'idée de l'orgue expressif pointe dans la musique. Par contre, les grands offertoires et grands chœurs réclament un grand orgue jusqu'à cinq claviers; et, comme observé dans les premières suites, Benoist ne se sert que des indications de changements de claviers pour indiquer les nuances. Indications qu'il abandonne peu à peu à partir des Élévations de la 4e Suite au profit de «vraies» nuances : pp, ff, sf, fp, etc.
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